LES 10 STYLES DE RÉFLEXIONS NON AIDANTES

Nous avons tendance à croire que ce qui se passe à l’intérieur de nos têtes, n’est-ce pas! Après tout, si nous ne pouvons pas faire confiance à notre cerveau, à quoi pouvons-nous faire confiance?

Notre cerveau a été programmé pour nous avertir des dangers potentiels et pour trouver des solutions appropriées aux problèmes que nous rencontrons chaque jour. Cependant, Il y a des situations où nous doutons de ce que notre cerveau nous suggère, puisqu’on se rend compte qu’il se base dans son raisonnement sur les événements du passé qui peuvent n’avoir aucune relation avec notre situation actuelle.

Notre cerveau est naturellement prédisposé à connecter (d’une façon réelle ou fictive) des pensées, des idées, des actions et leurs conséquences. Il est parfois facile d’interpréter une coïncidence et de faire de fausses hypothèses sur sa signification. De la même manière, il est également facile de relier deux pensées ou deux événements qui se produisent à peu près en même temps alors qu’il n’y a aucun lien réel entre eux.

Il existe dix styles principaux styles de réflexions non aidantes que les gens souvent s’adonnent :

1. PENSER EN « NOIR ET BLANC » : c’est quand nous avons tendance à toujours voir dans les situations soit un extrême ou un bien autre. Nous pouvons voir soit le bien ou le mal, soit la tristesse ou le bonheur, soit la gauche ou la droite, etc. A cause de notre façon extrême de voir les choses, il est peu probable de gérer les situations d’une manière impartiale et neutre, ou de faire des compromis.

2. RAISONNEMENT ÉMOTIONNEL : c’est lorsque nous avons tendance à baser notre point de vue pour une situation donnée sur notre ressenti. Dans ce cas, c’est notre état émotionnel qui dicte la façon dont nous percevons cette situation même si la réalité est complètement le contraire. Par exemple, nous pouvons nous sentir mal à propos d’un évènement qui va se produire, simplement parce que nous nous sentons malheureux. Nous utilisons donc notre état émotionnel actuel comme un baromètre qui détermine comment nous allons voir notre vie et notre situation.

3. GÉNÉRALISATION : c’est lorsque nous faisons référence à notre passé pour émettre des hypothèses sur le présent. Nous pouvons, par exemple, prendre une situation du passé et l’utiliser comme «prédicteur» pour une situation actuelle ou future. Chaque fois que nous utilisons les mots “Il a toujours … Elle a toujours … Tout le monde … Vous n’avez jamais … Les gens n’ont jamais … Je n’ai jamais …” nous sommes à ce moment généralisant.

4. LA PERSONNALISATION : nous avons tendance à ramener tout à notre personne comme si nous étions le centre du monde. Nous nous culpabilisons pour des problèmes et pour ce qui ne va pas dans notre vie, nos malheurs et notre malchance. Ceci peut être vrai lorsque nous sommes totalement ou partiellement responsables de notre problème ou notre malheur. Prendre la responsabilité des choses est admirable, cependant, cela peut finir par être une habitude qui conduit à de très forts sentiments de culpabilité et de regret.

5. LA SELECTION MENTALE : c’est lorsque nous avons tendance à filtrer les situations et se concentrer uniquement sur une partie et ignorer le reste. Nous pouvons par exemple filtrer uniquement les aspects négatifs d’une situation et nous ne reconnaissons pas ce qui est positif. Notre vision de la réalité peut donc être basée sur notre perspective erronée basée sur la négativité que nous voyons dans chaque situation.

6. FAIRE DES CONCLUSIONS : Nous avons parfois tendance à sauter vers des conclusions non justifiées. Nous construisons des hypothèses rapides sur la façon dont les choses sont et à quoi elles vont ressembler à l’avenir (pensée prédictive), ou nous supposons que vous savons ce que quelqu’un d’autre pense (lecture de l’esprit). Ces conclusions et hypothèses ne sont pas basées sur des faits ou des preuves mais plutôt sur nos sentiments et nos opinions personnelles. Ce styles de pensées peut souvent nous induire en erreur.

7. CATASTROPHER : c’est quand nous avons tendance à amplifier les choses hors de proportion et à les faire paraître bien pires qu’elles ne devraient l’être. La situation peut être insignifiante et modeste, mais si nous avons l’habitude de catastropher, les problèmes paraîtront plus grandes, ce qui rend nos problèmes plus difficiles à surmonter.

8. OBLIGATIONS : c’est quand nous avons tendance à mettre des pressions déraisonnables sur nous-même et sur les autres pour faire certaines choses. Nous avons tendance à dire: «Je dois… je devrais… vous devez… il faut…». Ces expressions donnent un aperçu sur nos normes et règles que nous avons tendance à respecter et des choses que nous attendons de nous-même et des autres. Parfois utiles, mais dans d’autres moments, ces obligations peuvent créer des attentes irréalistes que nous ou les autres personnes auront du mal à respecter.

9. ÉTIQUETAGE : nous avons tendance à mettre des étiquètes pour nous-même ou pour les autres d’une certaine manière en fonction du comportement dans des situations très spécifiques. Ces étiquettes que nous créons peuvent devenir des croyances. Plus nous utilisons ces étiquettes, plus nos croyances se renforcent. Ceci peut être une bonne chose. Cependant, cela n’aide pas lorsque ces étiquètes que nous créons peuvent affecter notre perception de la réalité.

10. DÉVALORISATION : nous avons parfois tendance à agrandir les attributs positifs d’une autre personne, tout en minimisant les nôtres. Cela fait qu’on se dévalorise et on s’abaisse tout en élevant la stature de l’autre. Dans ce scénario, nous avons tendance nous dévaloriser, y compris nos traits positifs, nos succès et réalisations, comme s’ils n’avaient pas d’importance.

35 Replies to “LES 10 STYLES DE RÉFLEXIONS NON AIDANTES”

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